Presse

Voici quelques articles écrits au sujet de Marie Hélène Allain et de son travail artistique.

«Why Marie Hélène Allain?», par Terry Graff

Telegraph Journal, 1er octobre 2011
«Allain’s art is a catalyst for triggering self-awareness and wonder, bringing us back to the communicative function of art, the resacralization of human existence and a reconnection with that divinity undergirding and permeating all of reality – the numinosity of life.»

«The complexity of creation», par Tom Smart

Telegraph Journal, 1er octobre 2011
«Sister Marie Hélène Allain is a visual poet whose acuity in arranging objects tells us of miraculous thuths. Hers is a powerful, reverent voice whose authority compels us to see the world anew just by looking at what constitutes the ground we stand on and world around us. She reaches down to some of the humblest materials of creation; through the gentling of their definitions and forms she gives them a commanding, eternal substantiality that is out of time.»

«Un film hommage à une grande dame», par David Lonergan

Acadie Nouvelle, le 17 janvier 2009
«Allain s’expose dans sa quête de vérité, de beauté et, par-dessus tout, de Dieu. Pour elle, il n’y a pas de dichotomie entre l’Art et Dieu. Elle a choisi d’être religieuse, elle a choisi d’être sculpteure et c’est le rapport entre ses deux pulsions, celle vers Dieu, celle vers l’art, qui texture et sa pensée et ses œuvres.»

«Les sculptures de Marie Hélène Allain exposées à galerie d’art Owen’s», par Lise Pellerin

L’Étoile, 28 mai 2005
«Les sculptures qu’elle conçoit sont de toute beauté et proviennent d’une force inspirante de l’au‑delà et l’amour qu’elle éprouve pour la nature. Influencée par les œuvres d’Henry Moore, elle manipule la pierre et ses matériaux en vue de dévoiler l’essence de son sujet. Elle réussit bien à agencer les éléments de sa sculpture en exposant toutefois des parties polies avec les parties brutes afin de provoquer un genre de dialogue entre les pièces de l’installation.»

«La démarche d’une artiste peu commune», par Sylvie Mousseau

Acadie Nouvelle du 26 juin au 2 juillet 2004
«Mais pourquoi donc la varne? Cet arbre est à peu près l’équivalent du pissenlit sur les parterres. Personne n’en veut et pourtant ce sont des espèces pionnières. Lorsqu’une terre est abandonnée, c’est le premier arbre qui pousse. De plus, les Amérindiens à l’époque de l’arrivée des premiers Blancs en Amérique s’en servaient beaucoup pour ses vertus médicinales. C’est un arbre qui contribue à préparer la terre pour les autres espèces à venir. Il est résistant et très difficile à chasser. Plus on le coupe, plus il repousse. Ainsi, Marie-Hélène Allain a voulu faire un parallèle avec l’histoire des Acadiens, un peuple qui a résisté à plusieurs bouleversements dans son histoire.»
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«Arts contemporains en Acadie», par Ghislain Clermont

Vie des arts été 2004
«Marie-Hélène Allain a connu un développement plus discret. Les formes stylisées de Arp et de Moore la marquèrent longtemps, puis elle se mit à moins fignoler les blocs de pierre et à leur intégrer souvent des métaux ou du bois, passant ainsi à une pratique plus contemporaine du procédé d’addition au lieu de l’approche plus classique du procédé de soustraction. Ses grandes oeuvres ont davantage d’autorité que ses petites pièces. Les formes très simples et dénuées de tout artifice de ses débuts font maintenant place à des formes inattendues et plus complexes, surtout lorsque les pierres se répondent les unes aux autres ou qu’elles sont amalgamées à d’autres matériaux.»

«Marie Hélène Allain: Une pierre pour toi / A Stone for You», par Ray Cronin

Espace Sculpture, no 57, 2001, pp. 38-39
«Allain uses stones as building blocks to create expressive, emotionally charged sculptures. In the twenty works that make up Une pierre pour toi/A Stone for You, Allain rarely engages in full-scale carving in the round. Instead she manipulates the surfaces of the stones — stones obviously chosen for exhibiting expressive potential, to heighten the anthropomorphic or other qualities she seeks. She often includes found objects — scraps of metal or wood, pebbles or other stones — incorporating them into overall compositions that often present the core stone as almost fluid. Rarely does she work with a single block of stone; instead, she combines several pieces, sometimes split from an original block, sometimes completely different stones, making an additive art out of the essentially reductive process of carving.»
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«Des pierres pour nous», par David Lonergan

Acadie Nouvelle, semaine du 30 mars au 5 avril 2001
«De la même façon qu’elle se laisse envahir par ce qu’elle ressent quand elle découvre et choisit une pierre, un bout bois, un morceau de métal, et que l’œuvre naît de la rencontre entre ces éléments  et son imaginaire, de la même façon le regard du visiteur enveloppe l’œuvre qui résonne en lui laissant apparaître une émotion une réflexion sur la vie.»
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«Marie Hélène Allain : danser sa liberté» par Carolle Gagnon

Vie des Arts, vol. 42, n° 172, 1998, p. 45-47
«Marie Hélène Allain se considère en marge, hors de tout mouvement. Elle dit parler de réalités actuelles, de réalités visibles et de réalités non-visibles. Elle parle de transformation, de liberté.»
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«Métamorphoser l’indestructible» par Stéfan Thériault

Le Papier, le 18 mai 1997, pages 34 et 35
«C’est à Sainte-Marie, dans son atelier, que Marie-Hélène Allain m’a reçu pour me donner un aperçu de son art. L’atelier regorgeait de sculptures et un lourd porte-charge orange, debout, juste à côté de l’entrée, semblait monter la garde. Le sol de la seconde section, où l’artiste se livre à son travail, était parsemé de débris de pierre.»
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«Marie Hélène Allain: Entre les lignes», par Maria Kubacki

ARTSatlantic_46, Spring/Summer 1993
«Clearly, Soeur Allain has entered a new phase in her « dialogue with stone » (ArtsAtlantic, Winter/Spring ’80), one that is characterized by an openness and a desire to communicate more directly. It is as though she has finally managed to break open the stone that was, for so long, aloof and enigmatic.»
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«Marie Hélène Allain: Sculpture», par Roslyn Rosenfeld

ARTSatlantic_35, Fall 1989
«That being said, it was nevertheless clear that the strongest and most significant work of the show was Mouvance #3. The ovoid of banded grey marble, broken apart in two planes, implies vast energies at work. The shift of the upper sections from their original alignment is further evidence of the magnitude of these forces. While Allain’s work has often expressed elemental forces, never before has it focused on such a violent rupture. One almost needs the 18th century concept of the sublime‑something evoking awe and terror‑to express its power. It is this work that embodies the most authentic, the most profound, of Allain’s new directions.»
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