Dans son atelier, Marie Hélène casse la pierre et la transforme.
«J’avance comme lorsque je faisais de la taille directe, jusqu’à ce que je saisisse un peu la forme et qu’elle finisse par s’imposer.»
Propos de l’artiste rapportés par Sylvie Mousseau dans «Marie Hélène Allain perpétue le caractère sacré de la pierre», Acadie Nouvelle, 1er octobre 2011